glevesque Apprenti Lutin


Sexe:  Age: 60 Inscrit le: 08 Mar 2005 Messages: 107 Localisation: Montréal. Québec
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Posté le: Jeu Fév 16, 2012 01:38 Sujet du message: La Mécanique Quantique |
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Salut
3.2 – La Mécanique Quantique :
Le formalisme mathématique de la mécanique quantique est avant tout un outil de travail et de modélisation conceptuelle qui nous permet d'interpréter les comportements qui découlent de l'observation de phénomènes physiques microscopiques (de l’effectivité du monde de l’infiniment petit). Le formalisme mathématique associé à la mécanique quantique est essentiellement basé sur la projection de probabilité statistique, qui cherche à décrire les comportements du monde microscopiques par des interprétations reliées au concept de champs d’onde d’énergie et de matière, et ceci est rendu possible à partir de la quantification de la plus petite action possible sur la matière délimitée par la constante de Planck. En fait, il s’agit d’une théorie conceptuelle qui cherche à expliquer les comportements de champs d’onde d’énergie, dont nous n’avons pour l’instant aucune idée de quoi il s’agit en réalité (la nature réelle de la chose ?) n’ayant aucun équivalent dans le monde réel, sauf de ce qui est associé à l’observation de leur manifestation comportementale dans la nature. Nous ne savons strictement rien sur la trajectoire réelle lors de la propagation d’un champ d’onde d’énergie à travers l’espace, et tout cela nous est dans l'ensemble toujours inconnu. Et pour cause, car c'est à travers l’incompréhension de la trajectoire associée au mouvement lors du déplacement et de la propagation d’un champ d’ondes d’énergie dans l'espace, que le formalisme quantique fait ressortir toute son interprétation probabiliste et statistique.
3.2.1 – L’interprétation du comportement d’onde :
Le comportement d’onde relié aux déplacements des champs d’ondes d’énergie est interprété de nos jours comme ceci : lorsqu’une particule est excitée, elle retourne dans son état d’énergie antérieur par l’émission d’une onde d’énergie. Cette onde va croître de manière sphérique tout autour de la particule à la vitesse de la lumière. L’objet mathématique représenté par un vecteur d'état regroupe toutes les éventualités possibles concernant la manifestation à venir du phénomène, et ceci jusqu'à la réception du champ d’onde par une autre particule. Lorsque le champ d’onde d’énergie interagit de nouveau avec une autre particule de matière, il y a réduction instantanée du paquet d’ondes associé au vecteur d'état. L’interaction va matérialiser le phénomène, dont va découler par la suite l’interprétation de la trajectoire et des autres caractéristiques du champ d’onde d’énergie.
3.2.2 – Le hasard et l’indéterminisme :
Le hasard utilisé en mécanique quantique, n’est là que pour expliquer la réduction du paquet d'ondes en essayant par ricochet d’évacuer tout processus de causalité, et c’est pour cela que la mécanique quantique est dite fondamentalement indéterminisme. En fait, le formalisme de la mécanique quantique représente tout simplement notre limite d'interprétation actuelle reliée au problème de la mesure quantique. L’interprétation du comportement d’onde découle tout simplement de l’observation reliée aux conséquences et aux effets de la manifestation du phénomène, et non de la cause. Encore une fois ici, il ne faut pas prendre l’effet pour la cause ! La mécanique quantique encadre seulement les processus interactionnels qui impliquent des réactions entre les particules de matière et les ondes d’énergie, qu’elle cherche par la suite à interpréter sous la forme d’une dynamique de champ d’onde d’énergie situé entre deux processus causaux de la nature.
3.2.3 – Limite instrumentale, principe d’indétermination et superposition quantique :
Notre limite instrumentale reliée au problème de la mesure quantique est réelle, et il a pour effet de faire émerger un nuage d’incertitude sur les résultats qui découlent des observations. Dont une partie va être associé à l’indétermination quantique (Heisenberg) qui est associé à l’impossibilité de mesurer la position et la vitesse d’une particule en même temps à travers une même expérience. Mais en réalité, cela découle tout simplement d’une limitation instrumentale qui est imposée par le type d’expérience à être mené. Car mesurer la vitesse ou la position d’une particule demande une approche expérimentale totalement différente, qui impose en lui même des protocoles d’observations qui ne permettent pas de faire les deux mesures en même temps. Le principe d’indétermination de la mesure quantique est basé sur l’étendue même des champs d’énergies, les particules n’étant pas très bien localisées dans l’espace. Ici, l’incertitude découle de la grosseur des instruments de mesure vis-à-vis la dimension infinitésimale des particules à étudier et de la vitesse de leurs interactions.
Cela va faire ressortir un nuage de probabilité qui est axée sur l’indice d’incertitude et qui stipule de par lui même cette indétermination quantique. L’autre problème de la mesure découle de la superposition d’états quantique (Schrödinger), qui vient tout simplement du comportement d’onde lui-même sur l’étendue de son champ d’énergie. Il s’agit en fait ici, de la méconnaissance de tout l'enchaînement causale de l’environnement immédiat d’une particule (variables cachées), et qui concerne les différents états d’énergie d’une particule avant et après une mesure quantique. Cela fait ressortir des mesures physiques qui ne tiennent pas en considération les influences que l’objet étudié aurait pu subir dans son environnement immédiat. Tout cela stipule que nous n’avons aucun moyen de savoir ce qui a réellement influencé les états d’avant et l’après la mesure, afin de connaître les facteurs qui ont véritablement influencé l’état d’énergie d’une particule. Cela oblige à faire ressortir des états d’énergie sous la forme de superposition d’états quantique, et qui est reliée à la manifestation des comportements d’onde que nous observons dans la nature.
3.2.4 – Conclusion :
Bien que le formalisme de la mécanique quantique décrit très bien la réalité, il ne faut pas oublier qu’elle ne fait que décrire les conséquences (l’effectivité) et non la cause, dont les lois comportementales découlent de l’essence de la substance source. L’indéterminisme et la superposition d’ondes quantique peuvent représenter des faits réels dans la nature, mais ils ne seraient-êtres des phénomènes dont l’origine est sans cause. L’indéterminisme et la superposition d’ondes quantique découlent en fait de processus causal qui serait peut-être situé dans les prémisses mêmes de l’essence de la substance source, et dont la volonté et le verbe feraient tout simplement émerger les effets observables sous la forme de comportement d’onde. Il n’aurait pas de déplacement ni de trajectoire réelle à travers la membrane qui est située au niveau de notre matière éthérique, car le processus causal voyagerait et transiterait par une membrane composée de matière éthérique moins dense que la nôtre, avant d’émerger par la suite dans notre membrane en faisant émerger le processus interactionnel avec elle.
Mais, je suis convaincu que les mécanismes qui soutiennent la manifestation des comportements d’onde trouveront un jour une réponse plus satisfaisante, qui découlera alors tout simplement de notre limite instrumentale et conceptuelle actuelle.
Ce sujet fait partie de la synthèse de mes recherches
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieu. |
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